soutenabilite.jpg La rédaction d’Ouest-France me taquine ce matin encore avec ce mot qu’elle ne trouve apparemment pas très explicite. Elle n’a pas tort. Mais le sujet n’est pas, lui, futile. Une façon de l’expliquer consisterait par exemple à imaginer que la situation des finances publiques ne permette plus de servir aucune aide à la presse. Ne plus payer les salaires de la fonction publique. Ni les retraites. Ni les prestations sociales. Limiter à 2 heures par jour l’utilisation domestique de l’électricité. Bref des mesures qui sont celles en vigueur dans les pays n’ayant pas appris le sens du mot soutenabilité.