Nous avons sur ce Blog, en réduction, toutes les contradictions de notre société. En rapprochant mon billet du 26 octobre dernier, intitulé « triste journée », rédigé au retour d’une cérémonie d’hommage solennel à un gendarme décédé des suites de blessures survenues en service, et celui d’hier soir invitant « au calme », suite aux violences urbaines qui mettent en cause les forces de l’ordre, je constate que seulement 5 jours se sont écoulés entre les deux évènements qui nous révèlent les deux faces d’un même mal. Il est plus que temps de réfléchir aux fondamentaux de notre démocratie. Elle ne nous est pas promise jusqu’à la fin des temps. Elle nous est offerte mais elle ne pourra pas vivre sans nous.