Des USA où je me trouve en famille, un Président débile mental devient presque banal. Entre Trump et Morin, la parenté éblouit d’évidence.

Sots, infatués d’eux-mêmes, méchants, vulgaires, ils transpirent la haine recuite. Des lourdauds pathétiques. Dédions-leur comme prix d’excellence la chanson de Georges Brassens : « Quand on est c**on est c** » ! Car ils franchissent chaque jour le mur du « çon ».

Maintenant Président retraité, après 35 ans de vie publique, ayant siégé à tous les niveaux, local, régional, national et international, je me rends compte n’avoir jamais rencontré un turlupin comme Morin.

Les tartarinades du Tartarin d’Alphonse Daudet sont de doux euphémismes comparées aux morinades de Morin. Les siennes sont tristes. Négatives. Destructrices. Bouffies de ce « Moi » qui l’obsède.

Paranoïaque, il se croit tellement supérieur à tous qu’il ne voit pas les moqueries cruelles qu’il suscite dans son dos. Il nous fait honte ! Et personne n’ose lui dire.

S’agissant du Haras du Pin, il n’y siège jamais, il oublie même qu’il a donné son accord au projet qu’il cherche maintenant à démolir. En 2 ans, il n’a toujours pas pu réaliser l’aire de pique-nique qui devrait être sa seule et grand œuvre ! On lui dédiera son nom.

Dans 4 ans, nous serons enfin débarrassés de ce « mauvais cheval ». Naufragé, lors des dernières élections, par des déclarations irresponsables, nous l’avions sauvé par humanité. A tort ! La prochaine fois, nous l’engloutirons. Bien profondément, dans le fin fond du « trou du c** du monde » dont il a gratifié notre département.

Quant à l’élection du Président du Haras, il semble ignorer qu’un Préfet n’a pas le pouvoir de l’annuler ! Seul le Juge peut le faire. Et il sera simple de s’entendre sans fracas. Une fois encore, il aura spéculé sur le négatif. Triste clown.

la dernière morinade en cours dans Ouest-France.