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"Dette publique : discours de la méthode", RFFP n°100

Par |2017-03-13T11:36:23+01:0020 janvier 2008|La LOLF|

Dans un billet, du mercredi 19 décembre 2007, que vous pourrez lire en cliquant ici, Alain Lambert vous présentait l'excellent numéro spécial 100 de la RFFP intitulé : "Nouvelle gouvernance financière publique : Grands enjeux de demain".

Je me permets de compléter son billet en vous proposant de lire sa tribune, intitulée "Dette publique : discours de la méthode", qui est parue dans cet ouvrage collectif :

"Dette publique : discours de la méthode"

Sur le bulletin de salaire de tout jeune Français débutant aujourd'hui dans la vie active s'inscrit en négatif une ligne intitulée : « contribution au remboursement de la dette sociale ». Cette ligne ampute son pouvoir d'achat, et le conduira nécessairement à réduire la gamme de sa voiture ou de son mobilier, ou plus simplement à se priver de quelques sorties au cinéma ou au restaurant. Il ne sait pas pourquoi il paie cet impôt et pour cause : il était à peine né ou enfant quand cette dette a commencé à être constituée par ceux-là mêmes qui n'ont pas payé une partie des soins dont ils ont bénéficié à l'époque. Cet impôt ne finance aucun service public dont ce jeune pourrait bénéficier aujourd'hui.

LOLF – La gestion pluriannuelle progresse

Par |2017-03-13T11:36:51+01:0014 novembre 2007|La LOLF|

C'est le titre de l'article paru dans la Lettre du Gouvernement de novembre. Déjà en 2000, lors de nos réflexions préalables à la LOLF, avec Didier Migaud, nous avions lancé l'idée de la pluriannualité. Dans le rapport intitulé « Doter la France de sa nouvelle constitution financière » que j'ai rédigé au nom de la Commission des finances du Sénat en octobre 2000, j'écrivais au sujet de l'annualité qu'elle était devenue « synonyme de myopie budgétaire ».
Aujourd'hui, tout le monde s'accorde sur les faiblesses de la gestion annuelle pour différentes raisons. La première est que la gestion annuelle rend impossible toute grande réforme structurelle, d'autant plus que, dans la réalité, le pilotage des crédits serait plutôt infra-annuelle. Par ailleurs, l'annualité oblige à consacrer beaucoup de temps à la gestion et donc trop peu de temps à l'analyse de la dépense.

Lundi, sous la coupole …

Par |2017-03-13T11:36:55+01:008 novembre 2007|La LOLF|

Lundi prochain 12 novembre, à l'Institut de France, en Séance publique annuelle, sous la coupole, l'Académie des Sciences Morales et Politiques devrait nous délivrer, à Didier Migaud et moi, un beau message [...]

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