En voilà une bonne idée !

Leur rapprochement donne naissance à un nouvel acteur de taille moyenne en Europe. Certaines activités justifient pleinement que l’Etat conserve une part déterminante du capital de l’entreprise en charge d’un service public.

Mais pourquoi diable ne pas ouvrir le capital aux opérateurs publics voisins ? afin de mettre en commun leurs savoirs-faire, de développer des synergies, et aussi, disons-le franchement, sortir du co-pilotage trop répandu, dans notre pays, entre les directions et les syndicats. La gouvernance serait plus saine. Si on faisait cela pour la SNCF ? en invitant par exemple à son capital des entreprises de chemins de fer des pays voisins ? Il est probable qu’ils goûteraient modérément notre propention à utiliser la grève comme mode naturel de dialogue social.
u’en pensez-vous ?