Débat houleux sur la formation professionnelle : pas de crédit pour l’AFPA

Le vote du budget primitif a été l’occasion de débats houleux, inévitables puisqu’il s’agit de la traduction budgétaire de la politique municipale.

Entre le taux exhorbitant de la taxe foncière et l’absence de crédits pour l’AFPA qui envisageait l’ouverture d’une nouvelle section pour la formation de techniciens spécialisés dans le froid industriel, les échanges ont été vifs.

Je me suis indigné de voir cette occasion ratée de doter la ville d’Alençon d’une structure porteuse d’emplois que l’AFPA veut mettre en place. Mais lorsque l’idée ne sort pas du laboratoire socialiste municipal, elle ne peut qu’être mauvaise. Dommage pour l’emploi !

OH – du 4 mars 1985