La mesure, instaurée en France après le choc pétrolier de 1974, vise à économiser l’énergie en réduisant l’éclairage nécessaire en fin de journée. Certes. On sait même, paraît-il, évaluer exactement les économies d’énergie réalisées. Parfait. Mais a-t-on essayé sérieusement de mesurer les éventuels effets secondaires liés au trouble de l’horloge biologique ? Oui, répond-on ! Bref, tout le monde semble être satisfait. Moi pas. J’ai horreur de ce choc. Et il me fait plaisir de le dire.