Nous voilà donc renseignés. La candidate à l’investiture socialiste répond invariablement que « son opinion est celle du peuple français ». Précisément le peuple croyait qu’il vivait dans une démocratie de représentation au sein de laquelle les dirigeants ne suivaient pas mais guidaient ! Plus encore sur des questions aussi complexes et stratégiques que celles-ci. En cas d’élection, il faudrait donc s’attendre à une indécision permanente. Espérons que cela n’arrivera pas car, en cas de malheur, de crise grave, comment ferait-elle face ? Pas rassurant tout cela.