« Je ne suis pas Madame Irma, on l’a vérifié dans toutes les élections, les gens se déterminent au tout dernier moment » (Stéphane Rozès, Directeur du département opinion à l’Institut CSA). La sagesse commande d’interpréter les sondages avec précaution. Les marges d’erreurs existent et ne sont pas négligeables. Alors faut-il imputer un rôle majeur aux sondages ? Comment expliquer la pérennité et la multiplication des sondages malgré les précédents de 1995 et de 2002 ? J’imagine que vous avez bien une idée la dessus !

Une petite illustration humoristique en image de Deligne !