Les annonces alléchantes promises pendant la campagne doivent encore pouvoir être mises en oeuvre sans que les habitants n’aient à subir une augmentation des impôts.

Lorsque l’on connaît les exploits, réalisés à Alençon par l’équipe socialiste et communiste entre 1977 et 1989, en matière d’augmentation de la dette et de l’impôt, on ne peut pas manquer de s’inquiéter. Vingt ans après, il en reste des séquelles. On aimerait alors savoir quelle trajectoire de finances sérieuse la liste de gauche envisagerait d’emprunter, si, ce qu’à Dieu ne plaise, elle était élue ; surtout quand on retrouve de nombreux mêmes candidats. Il serait légitime qu’elle s’engage d’abord à ne pas creuser la dette comme elle l’avait inconsciemment fait auparavant et ensuite de ne pas augmenter les impôts. Obtiendrons-nous des engagements en la matière ?

Alain Lambert en a toujours fait une priorité qu’il a d’ailleurs évoquée dans un précédent billet où il précisait : « (…) la maîtrise de nos finances publiques est, au contraire, le préalable d’une action publique ambitieuse et efficace. Pourvu qu’elle soit constante ». Il avait prôné les mérites de l’assainissement des finances publiques auprès du Président de la République qui en avait souligné les bienfaits même s’il n’envisageait pas d’appliquer cette stratégie au niveau national.
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L’évolution des finances de la ville d’Alençon sur la période 1989-2006 le démontre amplement. Et ce fut un travail collectif et consensuel entre la ville et la communauté urbaine où tous les efforts ont été récompensés par les résultats obtenus.
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