L’agence de presse Reuters à repris dans une dépêche la réaction d’Alain Lambert aujourd’hui sur BFM : « II est indispensable d’arriver à (un déficit public d’environ 0,5% en 2012), sinon ce serait la honte et la faillite de la France. Si nous tardons à converger vers le déficit zéro, à cause exclusivement des moins values fiscales, ce n’est pas une tragédie. Si c’est lié à une dérive des dépenses, alors la catastrophe est inévitable. Chacun sait que les déficits dus aux moins values fiscales s’effacent rapidement quand la croissance revient (…) Hélas, 2009 sera encore plus difficile que 2008 » !